Mixage Phosphénique : Top 3 des applications
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Philips School-Vision, Osram et
Mixage Phosphénique en pédagogie
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Philips School-Vision
Le groupe Philips confirme avec son projet SchoolVision, les effets de la méthode du Mixage Phosphénique en pédagogie sur l’apprentissage et le comportement des élèves. Ces mêmes effets sur les résultats scolaires, l’apprentissage, l’attention ont été connus et constatés en France dés 1960 grâce aux travaux du Dr Lefebure.
L’objet de l’étude mené par le Prof. Dr. Michael Schulte-Markwort dès 2009, directeur de la Clinique de médecine psychosomatique chez l’enfant et le jeune au centre médical universitaire de Hamburg-Eppendorf, était de découvrir si la lumière pouvait influencer les comportements des élèves en classe.
La réponse est OUI, la lumière influence positivement le comportement et les résultats scolaires des élèves de manière impressionnante.
Hélas pour nos enfants, toutes les classes ne sont pas équipées d’un système School Vision, et vous ne disposez pas non plus d’un tel équipement chez vous.
- Pourtant vous pouvez facilement faire profiter vos enfants des effets de la lumière chez vous ou même lors de déplacements.
- Vous leur donnerez ainsi à moindre coût un avantage certain qui se verra dans leurs résultats scolaires et dans leur comportement.
- Ceci par l’utilisation conjointe des lampes phosphéniques et de la méthode d’apprentissage du Dr Lefebure éprouvée depuis 1960.
Comment School Vision a obtenu de tels résultats ?
Tout simplement en modifiant l’éclairage des classes en fonction de l’activité et des tâches de la journée. Les enseignants pouvaient moduler et choisir l’éclairage, les intensités lumineuses au sein de leur classe. Mais, il ne s’agit pas de n’importe quel éclairage.
Il faut que ce soit un éclairage dit de lumière du jour
L’entreprise Osram, mène des recherches similaires qui démontrent les effets d’un éclairage dynamique utilisant la lumière du jour :
La révélation sur la lumière naturelle du Soleil
L’observation du comportement et des résultats scolaires des élèves par le procédé School Vision n’est que la version moderne de l’observation fondamentale que le Dr Lefebure fit lui-même en…1928.
Les élèves de l’école primaire « Grundschule In der Alten Forst » de Hambourg, Allemagne, étudiaient en classe sous un éclairage adapté, qui est une lumière naturelle. Cet éclairage varie selon le cours et les moments de la journée, mais sa principale particularité est d’être un éclairage naturel.
Une des lumières les plus naturelles et les moins chères est la lumière du soleil. En 1928, les procédés de Luminothérapie et les études sur les différents types d’éclairage n’existaient pas. Mais, cela n’empêcha pas un enfant de constater et comprendre par lui-même sa propre transformation de cancre en très bon élève. Un si bon élève qui sera un des plus jeunes à faire médecine.
Lisez donc son témoignage qui s’avère être un véritable espoir pour tous.
« Jusqu’à l’âge de 12 ans, j’étais un cancre et j’en souffrais beaucoup moralement. C’était à tel point qu’à onze ans, le professeur avait voulu me mettre définitivement à la porte de l’école, et je n’avais pu y rester qu’à l’intervention énergique de ma grand-mère.
Or, après les vacances de Pâques de ma douzième année, je devins subitement bon élève et d’une façon si surprenante que mes camarades me portèrent en triomphe dans la cour. Plus tard, je fus toujours parmi les meilleurs en sciences.
Que s’était-il donc passé pendant ces fameuses vacances de Pâques ?
Nous avions déménagé. J’habitais, avant, dans un appartement où il n’y avait jamais de soleil.
Le nouvel appartement était merveilleusement ensoleillé, et je pris l’habitude d’aller assez souvent travailler avec le soleil sur le livre, bien que certains prétendaient que j’allais me faire mal aux yeux.
Or, il n’en fut rien mais bien au contraire, c’est à partir de ce moment que je fus bon élève.
Il y a là, je crois, quelque chose d’avant-coureur de mes recherches sur le Mixage Phosphénique en pédagogie.
L’on remarquera que l’on comprend mieux un texte et qu’on le retient mieux s’il est fortement éclairé.
Si c’est avec une lampe, il faut veiller à ce qu’elle soit dans un réflecteur en métal profond, pour ne pas avoir de rayons directs dans les yeux.
Si c’est avec le soleil que l’on éclaire son texte, se tourner de trois quarts pour que seul le livre soit éclairé.
Mais par contre, la lumière des tubes luminescents est trop pâle ; l’on observera qu’on travaille mal avec cet éclairage. Par la suite, je fus toujours meilleur en sciences et je sortis dans les premiers du P.C.N. (Physique, Chimie, Sciences naturelles), alors année préparatoire à la Médecine, bien que l’on était plus de quatre cents candidats à cette session et que j’étais parmi les plus jeunes. »Dr Francis Lefebure
La clé de School Vision un apport lumineux naturel sur les livres et les cours des élèves
Les élèves bénéficient d’une qualité de luminosité naturelle qui, de plus, peut varier en intensité. Cette lumière provient d’une source qui se trouve au plafond. Le fait qu’elle se trouve au-dessus d’eux rend leur plan de travail et leur livre eux aussi bien mieux éclairés.
Ce fut dans ce même but qu’Osram fit étudier le concept d’éclairage efficient d’un point de vue biologique au niveau des murs et surfaces de travail au lycée de Miesbach, en Allemagne.
Le cerveau est mieux “ nourri ” par un éclairage naturel et intense. Les personnes souffrant du syndrome de dépression saisonnière en arriverait rapidement à la même conclusion que le Dr Lefebure. Nous nous sentons mieux sous un éclairage naturel et sous le soleil que de vivre comme des rats sous un éclairage artificiel. Il est donc normal que les comportements des élèves soient meilleurs.
Cet éclairage produit directement un accroissement des photons lumineux, lesquels augmenteront le travail du cerveau par l’intermédiaire de l’œil.
Les supports comme la table et les livres favorisent le renvoi des photons vers l’œil. C’est un des premiers niveaux de l’étude du Mixage Phosphénique en pédagogie. C’est indirectement aussi un des effets cachés du procédé School Vision. Les effets énergétiques du phosphène et donc de la lumière avaient aussi été découverts par le Dr Lefebure.
Allez au-delà de School Vision chez vous avec l’utilisation du phosphène.
« Les applications de School Vision et ses résultats pour vos enfants dans le milieu scolaire sont merveilleux. Nous souhaitons vivement que cela puisse s’étendre un jour définitivement à chaque construction de nouvelles salles de classe, des bureaux et au sein même de nos habitations. Il est évident aussi que de plus grandes baies vitrées intensifieraient un éclairage naturel salutaire. »
Mais, il faut reconnaître que les établissements scolaires tout comme nos espaces de travail, ou nos propres lieux d’habitation ont déjà divers éclairages plus ou moins performants. Leur remplacement implique de la part des écoles ou des collectivités qui gèrent ce type de travaux, des investissements conséquents programmés sur plusieurs années.
De même il faudra que les maîtres d’œuvre des chantiers pensent à demander dans leur cahier des charges un tel niveau d’exigence en matière d’éclairage. Il n’y a à ce jour aucune obligation légale.
Vous pouvez bénéficier chez vous sans attendre d’un éclairage naturel et d’une technique d’apprentissage innovante utilisée depuis de nombreuses années.
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- Vous n’avez pas besoin d’attendre que des travaux se fassent à l’école, dans votre lieu de travail ou votre domicile
- La méthode peut être appliquée par tous les membres de votre famille
- Vous disposez d’ores et déjà d’une solution performante « Le Mixage Phosphénique en pédagogie ».
Vous venez de découvrir que le procédé de School Vision repose sur un principe simple exploitant la lumière naturelle et de la réflexion des photons lumineux par les livres et supports de travail.
Le Mixage Phosphénique va bien plus loin en termes d’applications grâce à l’utilisation du PHOSPHÈNE.
En utilisant la lampe phosphénique à lumière naturelle, vous disposez vous-même de votre propre School Vision.
Mais voici les avantages indéniables procurés par le Phosphène et la lampe.
1) – La lampe phosphénique concentre les rayonnements lumineux au lieu de les diffuser dans toute la pièce.
Lorsque vous regardez un objet, il y a déjà dans la lumière ambiante la présence de photons. Augmenter l’éclairage et la qualité de ce dernier c’est augmenter le nombre de photons présents dans la pièce. Ces photons réfléchis, renvoyés par les objets visuels sont transformés en signaux rétinotopiques dans la rétine. Ces derniers sont envoyés dans l’aire visuelle primaire et sont transformés en d’autres biophotons.
Le champ lumineux concentré par la lampe favorise le renvoi des photons uniquement vers l’œil et les profondeurs du cerveau via les nerfs optiques. Cela accroît l’activité électrique cérébrale et le fonctionnement de l’ensemble du cerveau. Il y a donc une meilleure utilisation de la lumière naturelle dans des couches internes de votre encéphale et pour l’ensemble des zones motrices, visuelles, auditives, etc.
Vous disposez alors d’une lumière bien plus concentrée en photons. L’effet est donc plus important en termes d’efficience, de travail et de stimulation cérébrale.
Vous pouvez mettre en œuvre deux manières de travailler à l’aide de deux lampes : une pour éclairer le texte, l’autre pour faire les phosphènes. Vous êtes alors à un stade supérieur d’utilisation en terme de luminosité naturelle et ceci sans aucun danger pour la vue si vous respectez les consignes d’utilisation de cette méthode.
Cela va bien plus loin qu’une amélioration de l’éclairage d’une pièce ou d’une salle de classe.
2) – Le phosphène s’avère être un champ de photons et biophotons
La persistance du Phosphène et ses particularités “ énergétiques ” s’expliquent par les différentes phases “ colorées ” qui favorisent la réception de différentes fréquences qui stimulent l’éveil, la concentration et l’attention au niveau cérébral.
Les découvertes les plus récentes démontrent que le phosphène est un champ de photons et de biophotons (Bokkon, Al, D’Angiully). C’est ce qui explique sa perception et réémission par votre œil. Cette évidence frappante de réémission de photons et biophotons se fera à votre première observation du phosphène et de ses différentes phases.
Le cerveau et le système nerveux ont un développement naturel lié à ces phénomènes dits phosphéniques. Le Dr Lefebure les étudia des années durant.
Le procédé School Vision, bien qu’innovant en terme d’éclairage des locaux, ne permet pas d’exploiter l’ensemble des propriétés découvertes dès 1960 par le Dr Lefebure. En effet, il découvrit que le phénomène lumineux si banal appelé phosphène était bien plus complexe que le pensait communément le milieu scientifique et médical, et avait des répercussions dans de nombreux domaines.
Il était très en avance, et c’est seulement aujourd’hui que divers chercheurs avec des instruments plus modernes confirment ses découvertes en neuropédagogie et neurosciences.
Vous apprendrez à utiliser les différentes phases d’excitation des photons et biophotons au sein de votre cerveau et de votre système nerveux pour des bénéfices importants en terme d’apprentissage. Vous apprendrez les exercices faciles selon vos besoins.
C’est une méthode simple, même si les explications en physiologie cérébrale sont très complexes.
Le bénéfice est donc bien plus important en termes de résultat.
Les résultats sont particulièrement nets lorsque l’on fait travailler les enfants avec les phosphènes.
Les enseignants qui utilisent la méthode phosphénique dans le cadre de cours de rattrapage scolaire, nous disent que les parents sont les premiers surpris des résultats et qu’ils “restent stupéfaits” tant les progrès sont évidents.
Ainsi, cette mère qui était désespérée par le retard scolaire de ses enfants : « Aujourd’hui, je peux dire que j’ai trouvé ce que je cherchais. J’ai mis trop de temps avant de trouver cela. Mes enfants ont fait de gros progrès avec le mixage (ma fille : 2,5 en Maths, maintenant 17,5 ; pareil pour les autres matières). Elle a suivi 2 ans d’orthophonie pour dyslexie, du temps perdu !. »
Nous vous invitons à consulter un très court extrait des différents témoignages d’utilisateurs de cette méthode qui deviendra désormais la vôtre. (lien page témoignage)
Si vous êtes étonné des résultats de l’étude School Vision par le changement de l’intensité lumineuse et l’utilisation de lumière naturelle, alors
vous comprenez la révolution en neuropédagogie que représente cette méthode d’apprentissage qui utilise les propriétés supérieures d’un phosphène observable.
3) – Des effets profonds sur les rythmes cérébraux, les synchronisations des hémisphères et des neurones.
Cette découverte de rythmes fondamentaux grâce aux phosphènes vous permettra d’apprendre à utiliser le Mixage Phosphénique en pédagogie, mais aussi les exercices propres aux rythmes internes du phosphène et donc de votre système nerveux.
C’est la seule méthode qui exploite un mode de fonctionnement naturel du cerveau pour stimuler ce dernier avec ses propres rythmes internes.
Le Dr Francis Lefebure.
Bien avant que l’Allemagne mette au point « SchoolVision », le Dr Lefebure avait déjà dès les années 1960 inventé une méthode “ Le Mixage Phosphénique en pédagogie ” permettant de vaincre différents troubles de l’apprentissage grâce aux effets de la lumière.
Le Dr Lefebure était un précurseur pour les recherches actuelles contre l’échec scolaire, ses découvertes ont aidé et influencé les chercheurs de l’époque jusqu’à maintenant.
Conférencier international, le Docteur LEFEBURE a animé des stages partout à travers le monde pour diffuser sa méthode (Allemagne, Grande-Bretagne, Portugal, Burkina Faso, Cameroun, Réunion, Canada Français). Il avait des correspondants dans le monde entier : Afrique, Vietnam, Amérique du Sud, Espagne, Italie, Belgique, Suisse, etc. Ses travaux ont toujours reçu un accueil très favorable et des groupes de travail s’organisaient à la suite des conférences et des formations qu’il donnait.
Lors d’un voyage au Québec, en 1982, le Docteur LEFEBURE fut invité par les radios et les télévisions québécoises. Ses émissions emportèrent un véritable succès. De partout lui parvenaient des lettres qui exprimaient l’efficacité, l’utilité et l’importance du Mixage Phosphénique en pédagogie. Au Québec, un professeur de l’université de Sherbrooke intégra la pratique dans ses cours.
En France, de plus en plus d’enseignants et de professeurs utilisent la méthode du Mixage Phosphénique en pédagogie, dans le cadre de leurs cours de rattrapage scolaire. Non seulement les parents eux-mêmes en constatent les effets, mais ces enseignants sont tout-à-fait enthousiastes au vu des résultats qu’ils obtiennent.
N’attendez pas les salles de classes soient éclairées par un nouveau procédé. Rejoignez-nous maintenant. Devenez des acteurs d’une méthode pédagogique innovante pas encore égalée depuis plus de 60 ans.
Donner toutes les chances à votre enfant de réussir ses études et dans la vie.
Et après avoir suivi notre formation, pourquoi ne pas devenir à votre tour enseignant de la méthode du Dr LEFEBURE. Phosphéno-pédagogue, un métier d’avenir car de plus en plus de parents se préoccupent de l’avenir de leur enfant.
Si l’enseignement vous intéresse n’hésitez pas à en discuter lors de votre formation avec votre coach. N’hésitez pas également à nous poser des questions via le formulaire contact.
Dyslexie, Miss et Mixage phosphénique en pédagogie.
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Être Miss cela s’apprend Par : Juliette Aquilina Reis 18 ans
Ancienne dyslexique, Juliette Aquilina Reis, Miss Centre 2012 et auteure du livre « Etre Miss, cela s’apprend » témoigne dans cet article de sa lutte et de sa réussite face à ce trouble. Elle est parvenue à vaincre sa dyslexie grâce à la méthode du Dr Lefebure : le Mixage phosphénique en pédagogie.
“ Pour vaincre ma dyslexie, ma mère rechercha sur l’Internet une méthode d’apprentissage susceptible de m’aider. Elle découvrit alors la méthode du Dr Lefebure, le Mixage phosphénique en pédagogie.
L’application de cette méthode d’apprentissage nécessitait l’utilisation d’une ampoule à phosphènes. Des cours complets m’ont permis de trouver à cette méthode diverses applications. Je l’utilisais aussi bien pour vaincre ma dyslexie que pour les mathématiques, le français et toutes autres matières scolaires. En plus de cela j’ai pu sentir après quelques semaines d’utilisation une amélioration constante de ma créativité, ainsi que de ma volonté.
Lors de mon parcours de Miss, j’ai dû apprendre plusieurs chorégraphies. J’ai donc appliqué le cours et les exercices qui m’ont permis de retenir et d’apprendre sans difficultés mes pas de danses. Je les répétais avant de m’endormir, cela était devenu un véritable rituel et me permettait de les reproduire facilement le lendemain.
Je m’aperçus également que mon sommeil était beaucoup plus réparateur. Je me couchais ; appliquer l’exercice correspondant à l’endormissement et parvenais à m’endormir rapidement.
Pour vous mettre en situation :
Prenons comme exemple le concours de Miss se passant devant le jury d’Endemol. Le jour de la présélection imaginez ce que vous ferez ou direz. Essayez de deviner les questions qui vous seront posées et représentez-vous la scène, ou vous répondez facilement et sans crainte. Un genre de rêve éveillé où vous êtes le maître d’orchestre et où tout se passe bien. Cet exercice est à faire au moins 3 fois. Il faut jouer la scène en imaginant chaque détail, chaque réponse clairement. C’est une façon de créer des automatismes qui prendront le pas sur le trac et le stress le jour J.
Pour augmenter l’intensité de l’exercice, faites un phosphène en regardant l’ampoule à phosphènes 30 secondes puis fermer les yeux. Au milieu du phosphène vous n’avez plus qu’à imaginer la scène !
L’application de ces exercices peut-être valable pour d’autres objectifs : obtention du baccalauréat ou examens, entretiens et concours par exemple. La preuve j’ai utilisé cette méthode et ses bienfaits pour obtenir mon BEP.”
Son livre :
Ce livre s’adresse à toutes les filles et femmes qui souhaitent rester belles et admirées en toutes circonstances. Il s’adresse bien sûr à toutes les candidates qui se présentent à un concours Miss France ou de Reine de beauté. Elles y trouveront une mine de conseils pour réussir leur élection. Vous rêvez d’être Miss d’un jour ou Miss d’un soir pour votre époux ou votre petit ami ? Suivez le guide.
Élue Miss Centre 2012, j’ai eu la chance de pouvoir concourir au titre de Miss France. J’ai suivi ce cursus qui permet d’apprendre à se faire belle en 15mn chrono, à se placer et à parler en société. Pendant 2 années consécutives, j’ai été invitée à représenter le bon goût français dans diverses manifestations, défilés, galas, associations, soirées !Ma mère s’est toujours intéressée aux méthodes de soins naturels et au Feng Shui, ce qui m’a beaucoup servi.
Maintenant j’ai proposé le Mixage Phosphénique dans un master post universitaire, où je veux l’utiliser comme dans mon modèle “Sound Genius – Genius dans la musique”.
Voici nos recettes de beauté et nos astuces Feng Shui pour étinceler ! Ce livre est né de nos deux expériences. Vous y apprendrez tout ce qu’il faut savoir sur les concours de beauté et comment vous y préparer. L’art de devenir irrésistible et de rester belle à moindre coût est à votre portée ! Bonne lecture à toutes.
Tiré du livre en vente sur amazon : Etre Miss, cela s’apprend ! : Conseils d’une ancienne reine de beauté.
Mixage phosphénique et Grande Musique
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Mixage phosphénique et Grande musique
par Giorgio FABBRI (chef d’orchestre)
J’ai apprécié cet article car il démontre à lui seul l’étendue du Mixage phosphénique en pédagogie. Giorgio Fabbri est un musicien, compositeur et chef d’orchestre, éprouvant de grandes difficultés de mémorisation, ce dont il souffrait surtout dans la direction d’orchestre de musique classique. Dans cet article, il explique comment il a appliqué le Mixage phosphénique en pédagogie dans son domaine qui est la musique.
« Le Mixage Phosphénique est une ressource très puissante pour l’apprentissage de la musique et la réalisation de performances musicales de haut niveau. Je suis musicien, organiste, cymbaliste, compositeur et chef d’orchestre.
C’est surtout avec la direction d’orchestre que j’ai pu expérimenter les effets extraordinaires du Mixage Phosphénique. Je dois dire avant tout que j’ai toujours eu des capacités de mémorisation très limitées, que j’en ai beaucoup souffert, surtout dans la direction d’orchestre. La nécessité de devoir suivre la partition musicale avec les yeux crée une très grande restriction car le chef d’orchestre n’est pas libre de pouvoir établir un contact direct avec les musiciens qui jouent en orchestre. C’est une contrainte à laquelle il est difficile de donner une réponse.
Simplement, il y a des chefs qui n’ont aucune difficulté à diriger un concert entièrement par cœur ; il y en a d’autres qui, au contraire, sont liés à la lecture de la musique pendant leur direction.
Parmi ces derniers, il y a même des chefs célèbres. Par exemple, en Italie, Riccardo Muti dirige presque toujours l’orchestre en lisant la musique, tandis que Daniel Baremboim, directeur de l’Orchestre du Teatro à la Scala de Milan a dirigé de mémoire, Parsifal de Wagner durant cinq heures. Diriger un orchestre par cœur ou en lisant la musique n’a pas nécessairement une incidence sur la qualité artistique de l’exécution musicale.
Lorsque le chef est un grand artiste et excellent musicien, la performance peut être également de haut niveau dans les deux situations. Mais c’est surtout la façon de travailler et de se rapprocher de l’orchestre qui est complètement différente. Et cela devient très bénéfique pour les chefs aptes à faire en même temps de la musique et de la lecture devant leurs yeux.
Cela leur permet d’avoir :
– Un contact bien plus direct avec les musiciens.
– La liberté de se déplacer sur le podium.
– Une absence de contraintes physiques.
Et cela leur permet aussi de :
– Ne pas être dépendants de la partition.
– Ne pas avoir à tourner les pages chaque fois (et donc avoir les bras libres, de pouvoir se mouvoir).
Ces avantages seront inévitablement reflétés dans le résultat final de l’exécution musicale. En plus, le chef qui dirige l’orchestre, sans la partition devant lui en quelque sorte, gagne en estime vis-à-vis de l’orchestre parce qu’il démontre une connaissance très spécifique de la musique à jouer. La capacité à se souvenir de l’entière partition est une performance inspirant toujours respect et admiration. Car les musiciens de l’orchestre jouent habituellement en lisant la musique ; contrairement à certains directeurs qui réussissent à la mémoriser.
J’ai pu expérimenter l’efficacité du Mixage Phosphénique dans la mémorisation d’un morceau musical que je devais diriger quelques jours après. Il s’agit de l’Ouverture de l’opéra La Gazza Ladra de Gioachino Rossini. C’est un morceau pour grand orchestre, il a une durée de presque dix minutes : donc c’est déjà une durée significative et respectable. Je veux dire avant tout que, avec l’aide de cette méthode, je l’ai mémorisé en une heure !
Il y a beaucoup de gens qui peuvent en témoigner : deux jours après, j’avais la première répétition avec l’orchestre. J’ai dit aux musiciens que j’étais en train d’expérimenter une nouvelle technique pour l’apprentissage et la mémorisation de la partition musicale : donc je leur demandais de me pardonner si je faisais quelques erreurs pendant la direction. Heureusement je n’ai pas eu besoin de leur pardon parce que j’ai dirigé le morceau du début à la fin sans erreurs. J’ai simplement donné les justes gestes pour les attaques et en anticipant les entrées des divers instruments.
Quelles sont les modalités et les procédures que j’ai suivies pour apprendre par cœur la musique que je devais diriger ? J’ai utilisé le Mixage Phosphénique de différentes façons et je pense que le succès obtenu est dû surtout à l’intégration de différentes modalités, (façons ou techniques) qui, toutes réunies, ont conduit au résultat.
J’ai commencé avec un premier phosphène adressé uniquement à l’écoute de la musique. Pendant le post-phosphène j’ai donc écouté entièrement le morceau musical avec les yeux fermés dans le noir et un casque sur les oreilles ; et ce, du début à la fin, même si le phosphène disparaît naturellement après les trois premières minutes.
Le second phosphène, je l’ai adressé à la lecture de la musique. Pendant le post-phosphène je suis resté avec les yeux fermés dans le noir sans écouter la musique mais mentalement la retraçant dans ma tête, en l’écoutant seulement avec l’oreille intérieure. Ensuite, j’ai ouvert la partition et lu la musique, une fois de plus du début à la fin sans l’écouter. Ce second passage avait pour but de créer une connexion entre les deux sens, ouïe et vue. Le troisième passage, était encore différent.
Pendant le post-phosphène j’ai gardé les yeux ouverts, et, sous phosphène, j’ai lu la musique du début à la fin. Je voyais la boule noire du phosphène à travers la musique mais j’avais allumé la lumière, donc je voyais assez bien la partition et j’ai pu la lire sans problème. Ce passage avait pour but de lire la musique dans la condition idéale, équilibre inter hémisphérique, et donc de pouvoir en faire une lecture « extrasensorielle ».
Enfin, dans le quatrième passage, pendant le post-phosphène, j’ai lu la musique avec les yeux ouverts sous phosphène tout en écoutant la musique avec le casque. Ce passage avait pour but d’intégrer toutes les capacités et toutes les sensorialités, à tous les niveaux. Ici, j’ai déjà eu un premier résultat vraiment étonnant. La musique que j’écoutais à partir d’un CD jouait de façon complètement différente. C’était comme si le voile était déchiré, comme s’il avait dissout le brouillard. L’orchestre jouait et la musique arrivait à mes oreilles d’une façon beaucoup plus transparente.
Au moment où tous les musiciens de l’orchestre jouaient ensemble, c’était pour moi beaucoup plus facile de distinguer les divers instruments. J’entendais le son des flûtes, des clarinettes, des violons, des violoncelles, des cors, des trombones. Le phosphène avait déjà atteint le but d’amplifier les facultés sensorielles. Cette capacité est très importante dans la performance de la direction d’orchestre, peut-être encore plus importante que la mémorisation. C’est grâce à cette capacité que le chef peut bien faire son travail, c’est-à-dire bien entendre ce que joue chaque instrumentaliste de l’orchestre. Il peut ainsi mieux le corriger, le diriger et obtenir le résultat expressif et interprétatif qui est dans son intention.
Écouter et bien entendre est primordial pour un bon chef. Donc, cette expérience démontre que le Mixage phosphénique en pédagogie est capable d’amplifier la faculté de bien entendre la musique de d’être bien plus à l’écoute du chef d’orchestre.
Mais poursuivons le but original de ce document, qui est de mémoriser rapidement un morceau de musique à diriger. Je continue donc à expliquer comment j’ai réussi à obtenir très rapidement ce résultat avec les phosphènes. Après avoir fait quatre passages de phosphènes, selon la description ci-dessus, j’ai cessé d’utiliser les phosphènes, ai commencé à étudier le morceau comme je le fais d’habitude, en lisant plusieurs fois la musique, quelquefois même en l’écoutant pendant la lecture.
La répétition fait partie intégrante de l’apprentissage de la musique. Les musiciens sont habitués à répéter plusieurs fois, soit pour apprendre à jouer d’un instrument, soit pour la mémorisation, qui est cependant un processus long et complexe et pas fait pour tous.
Pour moi, qui musicalement, suis né comme organiste, la mémorisation n’est pas une habitude. En effet, dans les écoles de musique italiennes ou les conservatoires, la mémorisation ou jouer par cœur, pour les organistes/professeurs, n’est pas demandée pour obtenir le titre ou diplôme d’études. Cela s’explique par la grande difficulté de la musique organistique. On doit la jouer avec les mains et les pieds et elle est écrite sur trois pentagrammes qu’on doit lire simultanément. Doù la difficulté de l’apprentissage par cœur. Cela pourra être, donc, un autre champ dans lequel on pourra utiliser le Mixage phosphénique en pédagogie.
Par conséquent la mémorisation n’ayant pas été une habitude pour moi c’est encore plus difficile à obtenir. Mais, avec l’aide du Mixage phosphénique en pédagogie, ce matin-là, après simplement une heure de travail, j’avais appris par cœur l’ouverture La Gazza Ladra de Rossini ! De ce fait, à la fin de la première heure de travail, j’ai été capable de diriger l’ouverture, dans ma chambre, avec la tige en main, devant le miroir, tandis que je faisais jouer la musique par les haut-parleurs. Il ne s’agit pas encore de la performance devant l’orchestre mais c’était déjà le premier pas ! Après cela j’ai abandonné cette étude et ai fait d’autres choses.
Le soir, avant de dormir, j’ai fait encore un autre phosphène et ai écouté pour la dernière fois le morceau. Le matin suivant j’ai eu l’autre grande surprise. Le morceau était dessiné dans ma tête, d’une façon étonnante. Avant de sortir du lit, j’ai répété le morceau mentalement, découvrant des relations entre les différentes parties du morceau que je n’avais pas observées auparavant. J’avais maintenant clairement dans ma tête que le morceau était divisé en quatre parties. Les deux parties centrales étaient similaires à la première qui s’était, à son tour, divisée en quatre, etc. En un mot, j’avais clairement pris conscience de la structure du morceau. Donc la mémorisation obtenue de cette façon n’est pas due à une action mécanique et répétitive mais est le résultat d’une réaction inter-hémisphérique du travail avec le conscient et l’inconscient. C’est une mémorisation qui peut rester vive très longtemps.
Le matin, j’ai répété encore quelques fois le morceau en le lisant et en le dirigeant devant le miroir. Le contrôle du morceau était vraiment parfait : il ne restait que le test final. Le lendemain, j’avais la première répétition avec tout l’orchestre devant moi, sans la partition devant mes yeux, seulement moi et ma mémoire. Après avoir communiqué aux musiciens le test que j’étais en train de faire, j’ai donné l’attaque… et l’orchestre est parti ; je l’ai dirigé du début jusqu’à la fin sans erreurs !
Après cette expérience qui a été très positive et palpitante, j’ai appris avec les mêmes procédés les autres morceaux du concert que nous étions en train de préparer et quelques jours plus tard, j’ai dirigé le concert entièrement par cœur !
J’ai beaucoup de témoins qui peuvent le confirmer parce que c’était le concert d’ouverture de l’année du conseil de la mairie de Ferrara, le 18 janvier 2011, devant un vaste public, le maire de la ville, tous les conseillers et tous les musiciens de l’orchestre. Pour la première fois, devant tout le monde, j’ai dirigé un concert de musique par cœur !
J’utilise le Mixage phosphénique en pédagogie tous les jours et avec cette extraordinaire ressource j’ai obtenu et obtiens tous les jours des résultats étonnants. Je l’ai utilisé même pour l’écriture d’un livre et cela m’a aidé à écrire un chapitre par jour. C’était un livre écrit avec deux autres personnes et dans l’espace de neuf jours. J’ai complété ma partie, un chapitre par jour pendant la période de Noël 2009. J’ai tous les e-mails qui en témoignent. Ma fille qui étudie à l’université et est également musicienne utilise tous les jours la méthode pour ses études et ses performances musicales. Elle est même en train d’étudier le dossier pour devenir phosphéno-pédagogue et pourvoir ainsi diffuser cette connaissance.
Autres applications
Mon activité n’est pas seulement celle du musicien qui joue ou dirige un orchestre, je m’occupe aussi de formation. Je suis enseignant au Conservatoire de Musique dans l’Adriatique, près de Venise et formateur pour entreprises et organisations économiques. J’ai structuré un modèle de formation qui s’appelle « Sound Genius — Ton génie dans la musique » ou « le Génie du son ». Mon souhait est d’utiliser la méthode comme ressource pour aider les gens à reproduire les hautes performances de l’esprit musical.
Donc j’ai décidé de devenir phosphéno-pédagogue, afin d’appliquer le Mixage phosphénique en pédagogie dans ces deux situations :
– pour l’enseignement de la mémorisation musicale, pour les musiciens, soit pour les joueurs et les concertistes, soit pour les chefs d’orchestre, sur la base du projet expliqué plus haut ;
– pour l’obtention de performances de haut niveau dans les entreprises, pour les leaders ou les managers, dans la réalisation de projets, pour des suppositions ou prise de décisions, pour la création de nouvelles idées.
Conclusion
Pour moi, l’utilisation du Mixage phosphénique en pédagogie est devenue quotidienne. Je l’applique dans plusieurs champs d’activités, dans la vie personnelle comme le domaine musical. Ce que je trouve puissant est que la méthode amplifie une des caractéristiques les plus importantes de la musique, c’est-à-dire le balancement interhémisphérique. Par sa nature, la musique, soit en l’écoutant, soit en la jouant, force à utiliser les deux hémisphères ; les deux performances, la logique et l’émotionnelle, celles du conscient et de l’inconscient. Le Mixage phosphénique en pédagogie amplifie et active le processus qui permet la possibilité de vivre pleinement en harmonie avec le monde et avec soi-même.
Je veux remercier le Directeur du Centre du Docteur Lefebure, M. Daniel Stiennon, pour son précieux travail et la possibilité qu’il offre au monde entier de découvrir le Mixage phosphénique en pédagogie.
P.S. : Voici ma dernière expérience avec le Mixage phosphénique en pédagogie : avec ma fille nous avons participé à un Festival de Théâtre, (Festival Teatro d’Impresa, Bologna, 11 et 12 juin 2011, organisé par AIF). D’abord j’ai utilisé le Mixage phosphénique en pédagogie pour écrire le script et le scénario. L’écriture a été fluide et lisse.
Ensuite nous avons utilisé la méthode pour le mémoriser.
Nous l’avons mémorisé très vite, bien plus rapidement que sans phosphène. Et nous avons obtenu le prix pour le meilleur spectacle par le public et le prix pour le spectacle le plus original par le jury !
Maintenant j’ai proposé le Mixage Phosphénique dans un master post universitaire, où je veux l’utiliser comme dans mon modèle “Sound Genius – Genius dans la musique”.
Merci encore pour tout !
Giorgio Fabbri Directeur du Conservatoire de Ferrara »
Enseignement pédagogique et Mixage phosphénique
en Afrique par Brou KOUAME
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Enseignement pédagogique et Mixage phosphénique en Afrique par Brou KOUAME
Brou Kouame vice-président de l’ONG ASR (Alphabétisation et Santé en Milieu Rural), vice président de l’OPGE (Organisation pour la Protection et la Gestion de l’Environnement), explique dans son article l’importance du Mixage phosphénique en pédagogie dans le système éducatif africain car le taux de réussite n’a fait que régresser d’année en année à cause des méthodes dites évolutives.
« L’enseignement pédagogique peut se définir comme l’ensemble de méthodes visant la transmission d’un savoir à un individu (enfant ou adulte). C’est avant tout l’action de conduire l’apprenant sur le chemin de l’apprentissage.
I/ La perte de la méthode du Mixage phosphénique par les colonisations
Le système éducatif hérité de la colonisation a éclipsé cette méthode. Nos États sont passés par de nombreux systèmes pédagogiques pour aboutir aujourd’hui à la méthode par compétence. Cette multiplicité de méthodes dans la pédagogie est révélatrice d’un malaise : la recherche d’une méthode d’apprentissage idoine afin d’améliorer les résultats scolaires ou estudiantins.
Cependant, face aux nouvelles méthodes dites évolutives, le taux de réussite dans nos écoles n’a fait que régresser d’année en année. Il s’ensuit les tares et les déviations que connaissent nos sociétés : échec scolaire, corruptions, dégradation des valeurs morales. Ces situations sont la conséquence de l’abandon d’un enseignement pédagogique alliant le Mixage phosphénique. Cette méthode contribuait à l’épanouissement de l’être tout entier tant au niveau intellectuel que spirituel.
Notre époque est celle de la technologie et de l’information qui voit naître des outils divers visant un apprentissage plus facile. Mais que d’échecs ! Il semble même que des appareils, des consoles, tout comme des jeux sur papier peuvent nous aider à redonner de la jeunesse à notre mémoire. Face à une telle problématique, le Mixage phosphénique se présente comme une alternative saine, naturelle et durable. D’où la nécessité de sa valorisation ou sa revalorisation en Afrique.
II/ Valoriser l’apprentissage avec le Mixage phosphénique
Aujourd’hui, les recherches du Dr LEFEBURE ont montré que ce qui a été à la base du rayonnement des civilisations égyptienne, grecque et romaine est le Mixage phosphénique ; c’est-à-dire l’apprentissage par mélange d’une pensée avec fixation d’une source de lumière. Elles ont aussi montré que nos sociétés traditionnelles ont également pratiqué, consciemment ou non, cette technique pour transmettre leur connaissance.
Le Dr LEFEBURE a souligné que les civilisations citées plus haut ont décliné parce qu’elles ont abandonné ou interdit cette pratique. Aussi pour ne pas que l’Afrique disparaisse, il y a une nécessité de recourir à cette méthode d’apprentissage qui en elle-même n’est pas nouvelle. Elle est à la genèse des choses.
L’appropriation par l’Afrique du Mixage phosphénique permettra de relever le niveau de l’éducation, d’accroître le taux d’alphabétisation, d’optimiser la créativité entre autres. Pour exemple le taux de réussite au bac en Côte d’Ivoire était de 20% en 2009 contre 38% en 2008. En 2010 ce taux est passé à 24,51%. Tout porte à croire que le système lui-même est malade. Conclusion L’enseignement pédagogique et le Mixage phosphénique peuvent être conciliés afin d’aboutir à un meilleur rendement. Cette méthode a bien un avenir certain en Afrique, pour mettre fin aux préjugés (confiscation de l’intelligence, envoûtement…) liés à l’échec scolaire d’un bon nombre d’enfants. »
Mixage phosphénique et lecture rapide
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Mixage phosphénique et lecture rapide. Extrait du texte de Thérèse de LABOULAYE
Dans cet article très intéressant, Thérèse de LABOULAYE formatrice certifiée dans le Photoreading, explique comment grâce au Mixage phosphénique en pédagogie les effets de la Photolecture sont décuplés.
« Le Photoreading est une méthode de lecture accélérée qui vient des USA. Mise au point par Paul Scheele de Learning Strategies Corporation, cette technique met en jeu les possibilités incroyables de notre cerveau dont nous n’utilisons généralement que 5 à 10%.
Mixage phosphénique et Photolecture
La lecture sous phosphènes permet de maintenir son attention et la rétention de l’information lue est bien meilleure. Chaque fois que l’attention baisse, vous la relancez par un phosphène.
Assurez-vous de bien éclairer la page pour pouvoir continuer à lire. Sinon, le phosphène vous cache le texte.
Faire un phosphène pour les trois premières étapes
Faites un phosphène pour mémoriser le nom de l’auteur et le titre du document. Fixez-vous un objectif et placez votre point d’attention au-dessus et à l’arrière de votre tête. Parcourez la table des matières, la quatrième de couverture, les mots en caractères gras et décidez si ça vaut le coup. Ne passez pas plus de 2 à 3 minutes sur ces deux premières étapes. Enchaînez tout de suite avec la photolecture après avoir refait un phosphène.
En refaire un autre pour la préactivation
Consacrez entre 5 et 10 minutes à cette étape pour un livre et 2 à 3 minutes pour un article. Si vous ne trouvez rien d’intéressant n’hésitez pas, ce document ne vous apportera pas grand-chose. Ce sera autant de temps récupéré pour d’autres lectures. Vous verrez qu’avec l’usage vous développerez une sensation particulière quand vous photolirez un livre intéressant : peut-être que vous respirerez plus amplement, que vous aurez une sensation kinesthésique… Ce sera votre signal !
Faire des phosphènes à volonté pour l’activation
Quelles que soient les techniques choisies pour l’activation, faites un phosphène chaque fois que vous sentez votre attention faiblir. Activez par périodes de 20 minutes. Entre chaque période faites un exercice de brain gym, buvez de l’eau. Vous pouvez efficacement remplacer la brain gym par 2 minutes de balancement de tête pour stimuler vos neurones.
Tout passe par l’œil
Le Photoreading s’est inspiré de Betty Edwards. Dans son livre “Dessiner grâce au cerveau droit”, cette Américaine enseigne à dessiner, non pas l’objet mais ce qui se trouve autour. Et elle obtient des résultats spectaculaires. Souvent, quand on regarde un objet, on le mentalise, on le recrée. Regarder ce qui est autour empêche de le conceptualiser, d’où une vision plus juste. Dans les 5 étapes du Photoreading, l’œil est utilisé de deux façons : la première, c’est le point d’attention que l’on fixe mentalement au-dessus et à l’arrière de la tête ; cela agrandit le champ visuel et permet une lecture plus rapide et plus fluide.
Le point d’attention
Lisez trois minutes comme vous le faites d’habitude. Posez la main sur la partie du crâne destinée à la tonsure et imaginez un point à une dizaine de centimètres. Reprenez votre document et continuez à lire. Vous remarquerez sans doute que votre lecture est plus fluide.
Le photofocus
Pour photographier la page, (c’est le sens de Photoreading), il faut adopter un regard défocalisé. Il existe plusieurs techniques pour y parvenir. C’est ce regard qui permet de voir l’image cachée dans les stéréogrammes. Vous pouvez regarder au travers de l’image comme si vous vouliez voir le mur derrière. Vous pouvez également coller le stéréogramme contre votre visage et l’éloigner progressivement. À un moment donné, vous apercevrez l’image cachée. Une autre technique consiste à regarder le stéréogramme tout en regardant ses pieds. Ce regard défocalisé est en fait divergent. Si vous regardez votre livre ouvert avec ce regard, il se peut que vous aperceviez la page fantôme ; c’est comme un morceau de page au centre.
Convergence et divergence
Lorsque vous pratiquez le Photoreading vous voulez absorbez toute l’information contenue dans le document photolu. Voilà pourquoi vous adoptez un regard divergent. D’habitude, lorsque nous lisons, nos yeux convergent vers les mots, les groupes de mots. L’une des techniques pour améliorer sa vitesse de lecture, est d’agrandir l’empan, c’est-à-dire le nombre de caractères saisis en une seule fixation. C’est ce que fait la technique du point d’attention. Dans la troisième étape du Photoreading, l’œil englobe les deux pages s’il s’agit d’un livre ou d’une revue, la page unique s’il s’agit d’un dossier.
Nos yeux reçoivent plus de 10 millions d’unités d’information (bits) par seconde contre 200 000 pour les quatre autres sens. Heureusement, nous avons des filtres perceptifs sans quoi notre cerveau disjoncterait. Nous avons aussi des résistances et, pendant la photolecture, ces filtres perceptifs et ces résistances sont désactivés. On oppose souvent la pensée convergente et la pensée divergente. La première va dans le sens de l’analyse, de l’approfondissement du sujet. Si on ne la contrebalance pas par la pensée divergente, les risques, sont la sécheresse, l’appauvrissement, la stérilité. Si on ne pratique que la pensée divergente, c’est-à-dire regarder autour du sujet, on risque de papillonner, rester dans le flou. C’est l’alternance de ces deux modes de pensée qui caractérise le génie.
Mixage phosphénique en pédagogie et Photoreading
Des parallèles saisissants peuvent être établis entre le Mixage phosphénique en pédagogie et Photoreading. Pendant la fixation de la source lumineuse le regard est divergent. D’ailleurs si vous vouliez converger, vous verriez deux sources lumineuses. Et le phosphène aide à converger. La lecture sous phosphènes favorise la convergence et la concentration mais aussi la divergence. Elle facilite les associations d’idées, les métaphores… Aussi le Photoreading all mind system est-il tout à fait compatible avec les phosphènes.
Exercice : Faites un phosphène et pratiquez la convergence oculaire 3 ou 4 secondes vers le haut (entre les deux sourcils) puis aussitôt, mettez votre point d’attention et sentez votre regard s’ouvrir. Alternez plusieurs fois. Cette petite gymnastique oculaire crée l’alternance entre pensée convergente et pensée divergente.
Augmenter votre vitesse de lecture
Régler un métronome de musique à votre vitesse de lecture c’est-à-dire un claquement chaque fois que vos yeux reviennent en début de ligne. Puis, toujours sous phosphène, augmenter progressivement le rythme en vous efforçant à ce que vos yeux reviennent à la ligne à chaque claquement. Si vos yeux achoppent sur un mot, continuer votre lecture en vous recalant dès la ligne suivante sur le claquement de métronome.
Efforcez-vous de jour en jour de diminuer ne serait-ce que très légèrement le temps qui sépare deux claquements ceci aura pour effet d’augmenter progressivement votre vitesse de lecture. À la fin de chaque chapitre, notez dans la marge en peu de mots le résumé qu’il vous faudra alors placer dans un phosphène.
En guise de conclusion
Photolecture et phosphènes favorisent l’apprentissage en utilisant les deux hémisphères. La Photolecture permet de traiter le texte comme une image et de l’engranger dans la mémoire à long terme. Les phosphènes développent la mémoire sensorielle qui revêt une importance considérable dans le rappel. Les neurosciences ont démontré que la mémoire avait une composante cinesthésique. Photolecture et le Mixage phosphénique en pédagogie ont en commun le rythme, l’image et le point d’attention ou point de concentration pour le Mixage phosphénique en pédagogie. »
Le Mixage Phosphénique dans le sport :
utilisations et resultats
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Le Mixage Phosphénique dans le sport : utilisations et résultats
Tout le monde sait que la pratique régulière d’un sport et un régime alimentaire sain sont essentiels pour notre bien-être. Mais l’épanouissement cérébral est aussi très important et à ne surtout pas négliger.
Imaginez pendant vos séances de sport ou de relaxation utiliser un outil remarquable vous permettant de :
- doper vos performances, garder la forme, le moral et de faire le plein d’énergie.
- booster votre résistance nerveuse, physique et de diminuer le stress, gagner en motricité et en facilité pour effectuer les mouvements et enchaînements dans votre pratique sportive.
- vous sentir mieux reposé, plus disponible et plus dynamique.
- vous apporter plus de motivation et plus d’énergie pour affronter votre séance.
- optimiser votre récupération et bien plus encore…
Ex-international de karaté, passionné de sport, de développement personnel et de préparation mentale, j’ai, dans ma carrière de sportif de haut niveau (notamment en équipe de France de Karaté) eu recours à des techniques pour améliorer mes performances, comme des techniques de visualisation.
Aujourd’hui coach sportif en entreprise et pour particuliers, je suis toujours en quête de découvrir de nouvelles techniques de développement personnel. Pour cela, je lis énormément de livres et je navigue sur le net pour y trouver mon bonheur.
C’est ainsi que j’ai découvert le site «Méthode d’Apprentissage».
J’ai commencé à pratiquer la méthode tous les jours à hauteur d’un exercice par jour (soit en moyenne 30mn par jour). Après avoir écouté les différents cours, je me suis aperçu que cette méthode pouvait s’étendre à de nombreux domaines et que l’on pouvait expérimenter en respectant toujours certaines règles. C’est ainsi que j’ai commencé plusieurs expériences en associant cette technique au sport.
Très rapidement, j’ai ressenti la sensation d’être davantage en harmonie avec mon corps. Mon sommeil était profond et moi qui ne me souvenais jamais de mes rêves, je pouvais enfin garder quelques aperçus le matin au réveil.
Étant dans la période de lancement de mon projet professionnel, je me suis surpris par la créativité que pouvait m’apporter cette technique.
Ma compagne qui a commencé, elle aussi, votre méthode peu de temps après moi a ressenti de meilleures émotions. Elle n’avait plus de pensées négatives, elles étaient soit neutres soit positives. Elle a remarqué une plus grande clarté dans ses rêves, une augmentation de son activité intellectuelle, une meilleure créativité et plus de concentration à son travail.
Exemple de séance :
Mixage Phosphénique et enchaînements de techniques de karaté (kata) :
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- 1/ Fixation de la lampe, puis pendant le phosphène, réalisation du kata mentalement.
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- 2/ Ensuite je recommence la fixation de la lampe durant le temps préconisé, puis pendant le phosphène je réalise le kata les yeux bandés.
Expérience :
J’ai remarqué avec cette technique que je suis plus efficace et plus précis. Quand j’effectue le kata les yeux bandés, je termine le kata pratiquement au même endroit qu’au point de départ.
Je ressens également une bien meilleure concentration. Votre méthode est donc très efficace pour apprendre les katas.
Mixage Phosphénique avant une séance de préparation physique :
Avant la séance :
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- 1/ Fixation de la lampe. Pendant la fixation, visualisation de la séance que je vais réaliser.
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- 2/ Pendant le phosphène je dirige ma pensée uniquement sur des images et des phrases positives notamment sur les bienfaits que va m’apporter ma séance comme par exemple : « Je me sens de plus en plus performant et puissant ».
Après la séance :
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- 1/ Fixation de la lampe. Pendant la fixation, je repense aux moments de la séance que j’aimerais améliorer.
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- 2/ Pendant le phosphène, je visualise l’entraînement en me représentant mentalement les scènes que je souhaite remplacer par des mouvements plus favorables pour les prochaines séances.
La pratique d’avant séance me permet de me préparer efficacement surtout mentalement car depuis que je pratique cette technique du Mixage Phosphénique, je ressens de meilleures sensations pendant le travail mais également une meilleure capacité à supporter l’intensité de la séance.
La pratique après la séance m’apporte une meilleure progression sur les séances suivantes : du fait de travailler sous phosphène, mon corps enregistre mes corrections et les intègre avec plus de facilité. Je ressens également une plus grande motivation après le phosphène pour aborder la séance suivante.
Phosphène pour améliorer la récupération :
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- 1/ Fixation de la lampe pendant le temps préconisé.
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- 2/ Pendant le phosphène (allongé sur le dos), je visualise « l’énergie » traverser mon corps de la tête en descendant vers mes pieds. Pendant cet exercice, j’imagine que je prends l’énergie du soleil. Je la fais traverser mon corps pour enlever mes tensions, ma fatigue et mes courbatures et ensuite, ce flux énergétique ressort par mes pieds, emportant les toxines et les douleurs.
Après cet exercice mon corps est très détendu comme si j’avais passé une heure dans un bain d’eau chaude. Je suis convaincu que cette pratique m’aide à récupérer plus rapidement et qu’elle peut éviter des blessures en augmentant la récupération.
En résumé, la pratique du Mixage Phosphénique en pédagogie m’a permis non seulement de développer un peu plus mes facultés intellectuelles mais également ma pratique sportive notamment dans le domaine du karaté. Ceci dit, je sais que cela peut s’appliquer à tous les sports. C’est d’ailleurs pour cette raison que je l’enseigne dans de nombreuses disciplines sportives.
Exemple d’exercice pour n’importe quelle discipline :
Mixage Phosphénique et enchaînements de techniques adaptés à l’activité sportive du client :
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- 1/ Fixation de la lampe durant le temps préconisé puis pendant le phosphène, visualisation mentale des gestes techniques.
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- 2/ Ensuite fixation de la lampe pendant le temps demandé puis pendant le phosphène, réalisation des gestes techniques les yeux bandés.
Cette méthode permet d’améliorer les gestes techniques et de travailler la concentration. Elle est très efficace pour apprendre une nouvelle figure ou une nouvelle technique.
Je crois que j’ai trouvé en cette méthode ce que je recherchais. En l’appliquant quotidiennement je me suis rendu compte de tous les effets bénéfiques que le Mixage Phosphénique en pédagogie peut apporter aussi bien professionnellement que personnellement.
Je la recommande aux sportifs de haut niveau ainsi qu’aux sportifs débutants ou à toute personne à la recherche d’une méthode réellement efficace.
Gilles MOLLARD (Coach sportif – Préparateur mental)